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Écouter le silence du mouvement

Eko Sato, un galeriste du XXe arrondissement, a sélectionné et réuni plusieurs artistes, au Pavillon Carré de Baudoin, rue de Ménilmontant à Paris.

Entre art cinétique et art contemporain, l’exposition laisse place à des sculptures dont le mouvement fait partie intégrantes, des créations statiques qui émerveillent l’idée, et des vidéos projetés au mur en silence. L’exposition ouvre ses portes du 17 septembre au 21 décembre.

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Silencieuse, calme, presque déserte. L’exposition qu’accueille le Pavillon Carré de Baudouin est douce, spacieuse, prêtant envie à la méditation, à se questionner, comme une invitation à se retrouver. Un espace où l’espace technique s’efface pour apporter une respiration, un souffle.

Ici, s’instaure un dialogue entre les œuvres et le visiteur, qui nous ramène à une perception oubliée de l’espace et du temps. Le visiteur y est invité à venir découvrir des œuvres contemporaines intemporelles.

Après une belle saison et 3 expositions dédiées à la photographies humaines et sociale , ce qui vous est proposé au Pavillon Carré de Baudouin est une nouvelle expérience où le mouvement vous guide d’œuvres en œuvres et vous invite à voir l’ingéniosité et l’intemporalité de celles-ci.

Retrospective de l’exposition

Au rez-de-chaussée, un arbre est accroché en plusieurs partie avec des ficelles à un mécanisme qui le maintient en perpétuelle mouvement, doucement. Au 1er étage, en haut à gauche des escaliers, une vidéo passe en boucle sur un mur pâle. Des chaises sont là pour s’installer et regarder. Une danse du corps mouvementé et instinctive y est représenté par un homme, une femme courant sur place au second plan.

En fin d’exposition, un ballon géant est prisonnier de quatre murs griffonnés en noir. Il est équipé de fusains, qui, quand le ballon percute un obstacle, dessine un trait, un mouvement. Le silence du mouvement est une expérience sensorielle privilégiant la lenteur et le silence au brouhaha et à l’agression de la vitesse.

Maël L. Nicolas

Essonne : elle sort du McDo et découvre ses hamburgers déjà entamés

La direction du McDonald’s de Saint-Germain-lès-Corbeil a lancé une enquête en interne suite au scandale des sandwichs déjà entamés qui a éclaté dimanche 15 décembre. Le restaurant n’en est pas à son premier bad buzz. Windy Belony a mené l’enquête pour éclaircir le mystère du « croqueur de burger ».

Saint-Germain-lès-Corbeil (Essonne), ce dimanche. Laureane se plaint d’avoir trouvé ses sandwichs croqués. DR

Une atmosphère de méfiance et de stupéfaction règne devant le McDonald’s de Saint-Germain-lès-Corbeil en Essonne. Laureane, 24 ans, habitante de la ville voisine de Saint-Pierre-du-Perray avait passé commande au drive, dimanche dernier aux alentours de 15 heures. « Les employés étaient sympas, j’ai vérifié que j’avais tout et je suis rentrée chez moi, à 10 minutes de là », raconte la jeune femme ce mardi dans les colonnes du journal local. Mais lorsqu’elle étale les commandes sur la table de la salle à manger, surprise . une partie de son hamburger a été croquée. Il manque un tiers du sandwich. On y voit même la trace des dents, qui ont emporté un large morceau du pain, du steak et de la salade. Elle décide alors de retourner dans le restaurant et demander des comptes. Laureane choisit de filmer la scène avec son portable et finit par obtenir un nouveau sandwich. Ce n’est qu’après être retournée à nouveau chez elle qu’elle constate, en ouvrant un autre sachet de sa commande, que son deuxième Big Mac a lui aussi été croqué.

Laureane s’est filmée en train de réclamer des comptes au guichet du McDonald’s de Saint-Germain-lès-Corbeil

Ce mercredi dans la ville de Saint-Germain-lès-Corbeil lorsque l’on interroge les habitants. Chacun y va de son commentaire sur cette histoire plutôt drôle mais inquiétante.

« Moi les les fast-food je leur ai jamais fais confiance, c’est que des cochonnerie » confie Rogé 65 ans habitant de cette commune. Grace 26 ans étudiante à une autre explication  » Moi je pense que les employés de McDonalds sont hyper mal payé . Ils on aussi voulu faire grève et faire parler d’eux alors le meilleur moyen de mettre la lumière sur un restaurant ces de détruire sa réputation d’ailleurs regardé par vous même cette après midi il ‘y a personne devant le Mcdo c’est bien que la technique fonctionne (rire) »

Célia, 24 ans, employée dans un hôtel met en cause l’hygiène des restaurants fastfood :  » Je suis sûr qu’il y’a des souris ou des rats. Combien de fois j’ai vu des vidéos sur Facebook dans les boulangeries de Paul même dans l’aéroport j’ai une copine qui travail là-bas elle m’expliquai que le soir et mémé la journée il y a des souris dans le McDo qui traversent la salle normal. C’est même plus choquant pour eux tellement ils sont habitué « 

De l’autre coté un employé qui souhaite garder l’anonymat s’emporte: « vous pensez qu’on n’a que ça à faire de croquer dans des sandwichs sans le finir puis les remettre dans une boite pour le servir à un client ? Honnêtement Monsieur pourquoi on va faire ça? Les sandwichs à la fin de la journée on peut les prendre gratuitement. » Il rajoute que le scénario de la mauvaise blague est à exclure car « si nous sommes en cuisine, on ne voit pas les personnes qui sont dans le drive quand on prépare la commande. Cela veut dire que le sandwich en question on ne sait pas qui va le manger. Comment on savoir qu’elle va revenir et volontairement lui servir la même chose? Vous voyez bien qu’il y a aucune logique dans l’histoire ». Cependant, il juge que cette colère est légitime : « perso si ça m’arrivai j’aurais peut être même fait plus«  .

La direction du restaurant McDonald’s de Saint-Germain-Lès-Corbeil a indiqué avoir « diligenté une enquête interne immédiatement pour faire la lumière sur cette situation ».

Pour l’heure, le groupe « n’a pu mettre en évidence une quelconque non-conformité » via l’exploitation des caméras de vidéo-surveillance et les témoignages des équipes sur place. « En dehors de ce témoignage, aucun autre témoignage n’a été apporté à la connaissance du restaurant », précise-t-on chez l’enseigne.

Pas sûr que cette histoire empêche le succès de McDonald de continuer en France et vous qu’en pensez-vous?

Windy Belony

Smile Together, élue association phare de Noisy-le-Grand !

L’association Smile Together existe depuis janvier 2017. Elle a pour but de venir en aide aux plus démunis grâce à des maraudes. Sokhna, présidente et créatrice de cette association, se rendra samedi à la mairie de Noisy-le-Grand pour la cérémonie des récompenses des associations de la ville. Le vainqueur se verra offert, un important don de la part de la Mairie.

Un voile vert qui couvre le tour de son visage. Sokhna, noiséenne depuis sa naissance, habite dans la cité du Pavé Neuf, un quartier sensible de la ville. Un sourire communicatif quand elle nous parle de son association. Smile Together, sourire ensemble. Sokhna l’a décidé de l’appeler ainsi. Un nom d’association fort de sens. Apporter du sourire, du bonheur à toutes les personnes, même à ceux qui souffrent tous les jours. Une douzaine de personnes se rejoignent un à deux samedis par mois afin de distribuer des repas pour les plus démunis. « Faire le bien dans notre vie, c’est important. J’ai créé cette association pour, au moins apporter un peu de joie. » Déclare la présidente. Mais tout n’a pas été simple. « Au moment de la création, tout a été simple. Mais dans les débuts, c’était très dur. On a même voulu arrêter. » Effectivement, manque de moyens humains et financiers, les premiers mois ont été très difficiles. Les entreprises avaient du mal à donner, souvent à cause du manque de notoriété de l’association. « Ils croyaient que nous étions des voleurs. Que l’argent allait dans nos poches… », Elle continue en disant « Les 3,4 premiers mois, on a rien fait ! On n’était pas bien organisés, puis on n’avait pas les moyens pour acheter la nourriture. » Début compliqué, mais une situation qui ne fera que de s’améliorer.

« J’avais largement de quoi les aider. »

En Avril 2017, soit 4 mois après la création de Smile Together, un ange est tombé du ciel. Yacine Khenzari, chef d’entreprise de pompes funèbres, décide de leur porter secours en leur offrant 2 000 euros. « Je connais bien Sokhna et sa famille. Ils m’ont demandé de l’aide, c’est tout naturellement que j’ai répondu présent. » Il précise ensuite « Mon entreprise génère beaucoup d’avoir d’argent, grâce à Dieu. J’avais largement de quoi les aider. » Une importante somme qui permettra à l’association d’enfin démarrer leurs actions. Depuis, ce n’est pas moins de 10 000 repas distribués, une équipe humaine qui a été multipliée par 5, une reconnaissance de la part de la mairie qui leur accorde des locaux, des partenariats avec boulangeries, boucheries, grossistes alimentaires… Samedi, ça sera peut-être la consécration. Son association sera, sûrement sacrée meilleure association de l’année de la ville de Noisy-le-Grand, et bénéficiera des 5 000 Euros d’aides de la Mairie.

Smile Together est l’association qui a présenté le plus d’activités, le plus de régularités dans leurs actions tout au long de l’année 2019. Ils sont en concurrence avec les associations Humanit’aide et Noisy Stand Up. Anissa, 21 ans, membre de l’association Humanit’aide le reconnait aussi  » Smile Together, c’est trop fort ce qu’ils font ! Ils sont toujours au taquet. Nous, on est moins actifs. Samedi, il n’y aura pas de surprise.  » Sokhna, 28 ans, sénégalaise d’origine, diplômée en Master de droit, a quoi qu’il arrive réussi son pari. « Quand on a démarré, on ne voulait aucune reconnaissance, on voulait faire ça pour faire du bien autour de nous. Mais bon, c’est vrai qu’une aide supplémentaire, on ne peut pas la refuser. » dit-elle. Smile Together, l’association parti de rien, est devenue une vraie institution noiséenne.

Mohamed Bezzouaoui

Le paracétamol ne sera plus en libre service

L’aspirine, le Doliprane ou l’Advil, sont des médicaments aujourd’hui vendus sans ordonnance, mais ne seront plus en accès libre dans les rayons des pharmacies. Ils seront obligatoirement rangés derrière le comptoir à partir du 15 janvier 2020, a annoncé, mardi 17 décembre l’agence nationale de sécurité du médicament et des produits santé (ANSM) dans un communiqué.

À l’approche de la nouvelle année et des résolutions qui vont avec, l’ANSM instaure une mesure en écho à l’automédication. En effet, dés le 15 janvier 2020, les médicaments contenant de l’aspirine, du paracétamol ou encore de l’ibuprofène ne seront plus en libre service dans les pharmacies et seront désormais placés derrière le comptoir des pharmacies. Ils restent toutefois accessible sans prescription médicale. Les pharmaciens sont aujourd’hui libre de droit de le placer derrière le comptoir ou en libre-service. Pour Marie qui se rend toujours dans la pharmacie la plus proche de chez elle, rue de Turbigo : « je ne verrai pas la différence, pour moi ces médicaments ont toujours été derrière le comptoir, je suis habituée et ça ne me gêne pas ». 

« L’objectif est de renforcer le conseil du pharmacien »

« Ces médicaments sont sûrs et efficaces lorsqu’ils sont correctement utilisés, mais présentent des risques lors d’une utilisation inadéquate », détaille l’ANSM. L’objectif de l’agence est ainsi de renforcer le rôle de conseil du pharmacien et de débanaliser l’accès aux boîtes de médicaments. « Cette mesure s’inscrit dans la continuité des actions menées pour sécuriser l’utilisation de ces médicaments, notamment l’arrivée dans les prochains mois d’un message sur les boîtes des médicaments contenant du paracétamol afin d’alerter sur le risque pour le foie en cas de surdosage », poursuit-elle. 

Le docteur Cortinovis, médecin généraliste perçoit également cette mesure comme une bonne chose : « Les médicaments qu’ils ont remis derrière le comptoir, sont des médicaments qui peuvent paraitre anodins pour le grand public mais ont des effets indésirables potentiellement dangereux. Cela permet de replacer le conseil du pharmacien au premier plan », explique t-elle. 

Le paracétamol peut en effet causer de graves lésions du foie dans certains cas de surdosage, pouvant conduire à des greffes. Plus largement, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), sont, en cas d’usage abusif, susceptibles d’être à l’origine de complications rénales, de complications infectieuses graves et sont toxiques pour le fœtus en cas d’exposition à partir du début du sixième mois de grossesse.

« Cette mesure incitera peut-être les gens à se tourner vers une médecine alternative » 

Autour de cette médication, les risques sont souvent minimisés. Et même si il n’y a pas de lien direct avec cette affaire, pour la prise de décision, la mesure a tout de même était influencé par l’intoxication mortelle au paracétamol par Naomi Musenga, fin 2017. Elle était morte après avoir été raillée au téléphone par une opératrice du Samu de Strasbourg. L’enquête avait déterminée la cause de la mort comme « la conséquence d’une intoxication au paracétamol absorbé par automédication sur plusieurs jours ». Une mesure qui ne devrait pas affecter l’économie pharmaceutique d’après le Conseil de l’ordre national des pharmaciens. 

Toutefois, les médecines non conventionnelles ou alternatives se développent, comme le témoigne Maurane Guivet, une jeune étudiante de 22 ans : « La médecine générale présente des risques même avec le paracétamol. C’est bien que ce soit pris en compte mais cette mesure incitera peut-être les gens à se tourner vers une médecine alternative, comme les huiles essentielles ou na naturopathie ». 

Laura Ouvrard

[GREVE] Les éboueurs en grèves, les habitants du XIXeme cohabitent avec les déchets

L’insalubrité et les odeurs désagréable recouvre la porte d’Aubervilliers. Cette partie du XIXème arrondissement est laissé pour compte. Pour cause, les éboueurs qui rejoignent les récents mouvement de grève.

Depuis plusieurs jours, saleté et déchets cohabitent avec les habitants du XIXeme. Les déchets s’entassent, les habitants s’agacent. Aucune récolte n’a eu lieu. À la mairie, la Fédération des personnels des services publics et santé Force Ouvrière est excédé. Une collaboratrice qui aurait été apte à divulguer plus d’informations concernant les éboueurs en grève, en est dans l’incapacité parce qu’elle en difficulté à rejoindre son lieu de travail. De son côté, le chef de secteur n’en est pas plus facilité. Nombreux éboueurs rejoignent les mouvements de grève, le chef de secteur souligne  “quand il y a personne, il y a personne… on fait avec le personnel qu’on a malheureusement, ce n’est pas comme pour le foot, il n’y en a pas (de remplaçants) sur le banc de touche.” Il enchérit “ça nous rendrait bien service.” pas de personnels, donc pas de récoltes des déchets et donc, une accumulation bien pénible mais surtout déplaisante pour les habitants du quartier.

Des habitants mécontents… ou pas.

Les habitants de porte d’Aubervilliers, et notamment de Guillaume, 29 ans, donne plus d’informations. “Ce qui se passe c’est le fait qu’on habite à Paris, il y beaucoup, de population et donc, de déchets produits. Les poubelles s’entassent et débordent. Il y a aussi beaucoup de maraudes qui sont organisées dans ce quartier, puisque tristement, beaucoup de migrants vivent dans des conditions déplorables. Ça s’ajoute aux poubelles qui débordent, c’est un cercle un peu vicieux”. Il s’inquiète d’un point de vue sanitaire de son quartier et de la situation alarmante notamment pour les enfants. Faisant part de son soutien et très compréhensif à leur situation, il ajoute ”ils ont des conditions de travail difficile, une grosse précarité et la retraite touchent tout le monde. il faut qu’ils se fassent entendre et si  c’est l’un des seuls moyens qu’on parle d’eux, quelque part, c’est une bonne chose.”

Mariame Soumare

Viry-Châtillon : l’inquiétante disparition des services publics

Depuis cinq ans, les castelvirois observent au plus près la fermeture des services de proximité dans leur ville. Entre manque de moyens et de fonctionnaires, la ville de Viry-Châtillon (Essonne) est en incapacité d’assurer la pérennité de l’ensemble des habitants.

Des barreaux en fers marquent la porte d’entrée du bureau de poste. Seule une boite aux lettres extérieure est disposée au 12 Avenue Jean Baptiste Lebas. Les habitants du quartier du plateau ne peuvent plus, depuis près d’un an se rendre dans cette poste. « Si vous attendez qu’elle ouvre, vous pouvez attendre encore longtemps » scande Annick habitante de Viry-Châtillon. « Cette poste a fermé en janvier dernier. Je viens déposer une lettre, c’est la seule chose qu’on peut faire ici » énonce Annick qui est arrivé à Viry-Châtillon à l’aube des années 1980. Il faut désormais se rendre aux autres postes. Celle au 12 Rue Henri Barbusse et au 25 rue de Provence, toutes deux à Viry-Châtillon. Ces deux bureaux de postes sont marqués par des files conséquentes d’habitants. Aucun membre du personnels, par manque de temps apporte son témoignage.

Du commissariat au service d’impôts, les infrastructures mettent la clé sous la porte.

Annick, récente retraitée déclare aussi. « Juste à coté, il y avait une mairie annexe, mais elle a fermée, il y a plus de 6 mois. Je venais souvent, elle était utile, on pouvait même faire nos passeports. Maintenant c’est fini, il faut faire la queue à la mairie, qui est à 10 minutes en voiture ».

Au plateau, comme dans toute la ville, les services publics se réduisent de manière conséquente. Les presque 31 000 habitants de cette ville, doivent faire sans centre de finance public, sans CPAM et sans commissariat entre autres. « Maintenant, il faut que je fasse 30 minutes de transports pour me rendre au service des impôts qui est à Juvisy. Il y a pire, c’est sur, toutes les villes, n’ont pas de privilèges, mais voir presque tout disparaître, c’est pas facile » détaille Azir, d’un ton sec et froid. Cet habitant de Viry-Châtillon termine en disant que Viry reste une ville très agréable, malgré « le gros manque de fonctionnaires et de moyens financiers».

« L’Etat réduit les dotations et ferme les services publics »

Agacé, le maire de Viry-Châtillon, Jean Marie Vilain (Les Centristes), apporte son témoignage au micro de BFM Paris le 20 novembre dernier. Une baisse des subventions qui entraînerait un manque de moyens et surtout de personnels fonctionnaires. « L’Etat réduit les dotations et ferme les services publics, c’est dramatique pour les habitants. » prononce l’élu.

Le maire, évoque par la suite, le cas du centre d’impôt fermé. Ainsi que la mise en place d’une permanence du trésor public dans la vile. Manu, habitant de 39 ans de Viry-Châtillon tient à apporter une nuance sur les propos du maire. « Cette permanence du trésor public, n’est assuré qu’un mardi par semaine entre 9h et 11H30, il y a beaucoup de monde, ce n’est pas du tout suffisant. »

Le contremaître termine en indiquant que la ville devrait faire des efforts au vu de la taxe d’habitation « élevée, » qu’il paye.

Raphaël JORGE